Rien à voir avec mon métier, c’est juste mon petit dada!
Je ne suis pas vraiment superstitieuse, mais j’adore trouver des trèfles à quatre feuilles. Parfois je les trouve en cherchant un peu, mais les plus magiques, c’est ceux qui me font signe lors d’une balade, au bord d’un chemin, alors que je n’y pense même pas!
Je les mets à sécher dans un livre ou dans mon agenda (si, je porte encore un agenda papier avec moi!) et je les conserve dans une boîte, je ne sais pas trop pourquoi. Je dois en avoir quelques centaines déjà, mais je ne les ai jamais comptés.
C’est une collection tout à fait inutile (n’est-ce pas le lot de toutes les collections?) mais qui a l’avantage de prendre peu de place et d’être gratuite…

Mon trèfle à sept feuilles
Photo Yves Gabioud
Quelques informations pour ceux qui ne connaissent pas le domaine:
Quand on trouve un trèfle à quatre feuilles à un endroit, il est fréquent qu’il y en ait d’autres tout près. Peut-être une mutation génétique dans la plante? Je ne parle pas d’une variété spéciale qui ne donnerait que des trèfles à quatre feuilles, mais d’un endroit où ils sont proportionnellement plus nombreux. Il m’est arrivé d’en cueillir une vingtaine en une ou deux minutes…
Il arrive aussi, surtout dans ces «endroits à trèfles à quatre», qu’on trouve des trèfles à plus de quatre feuilles; à cinq, ce n’est pas trop rare; à six, j’en ai trouvé quelques fois, et mon record a été de sept feuilles! Nombre porte-bonheur s’il en est (je vous ai bien dit que je ne suis pas superstitieuse…).
Le record est un peu plus impressionnant: 56 feuilles, trouvé au Japon…
Eh bien, moi, je me contente de mon trèfle à sept!
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